Pierre Ech-Ardour pour son recueil : Enceinte d’infinitude délivre la lumière le silence, paru aux Editions Les Poètes Français.

Ce sont des poèmes respectueux de leur destinataire, qui accordent une place importante à la pluralité de sens et à la liberté de compréhension. Le fait qu’ils n’aient pas de titres évite notamment d’en figer l’interprétation. Ils donnent accès à ce que Jean-Bertrand Pontalis désignait pour évoquer un texte en prose (dans son livre Le dormeur éveillé) la « mémoire rêveuse », qu’il définissait comme « traversée d’images, de souvenirs, d’instants ».

Traces de lumière : Pierre Ech-Ardour, Enceinte d’infinitude délivre la lumière le silence

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