Dans cet Arrêt aux pages, Nathalie Bouly reçoit Jean-Baptiste Gauvin pour son livre « La mer terrible selon Monet ».

« De septembre à novembre 1886, Claude Monet est à Belle-Île-en-Mer, l’île la plus vaste de Bretagne. Le peintre, jusqu’ici habitué à la mer d’Étretat, affronte un nouveau territoire : l’océan Atlantique. Belle-Île, c’est la «  mer terrible  », avec des tempêtes titanesques, mais aussi un soleil qui s’attarde plus longtemps que sur le continent et donne à la nature mille et une couleurs éblouissantes.
Dans cette solitude insulaire, Monet fera de belles rencontres : comme cet ancien pêcheur de homards, Poly, qui sera son porteur et dont Monet fera le portrait.
Un séjour qui sera un ancrage plus profond de son expression au monde. »

Arrêt aux pages : Jean-Baptiste Gauvin, « La mer terrible selon Monet »

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