Dans cet Arrêt aux pages, Nathalie Bouly reçoit Serge Marignan pour son livre « Ironie, la vie ».

« Un concert de John Lee Hooker en juillet 1969 devient le cadre d’une rencontre amicale inoubliable entre deux gamins, Paul et Vincent. Trois ans plus tard, au collège de Sommières, Anne vient compléter ce trio qui, au fil des premiers émois de l’adolescence, se transformera en un triangle amoureux. Un Jules et Jim pour teenagers. En avril 2003, un quatrième personnage, Véra, fait surface et explore la vie des deux quadragénaires que sont devenus Paul et Vincent.
Que cherche-t-elle, quelle est sa quête ? Ironie, la vie vous entraînera dans les paysages d’enfance, d’adolescence et de vie de l’auteur au travers de ses passions musicales, poétiques, mais aussi cinématographiques. C’est le roman de la mémoire et des identités. Un voyage à travers les époques et leurs traditions, mais aussi un questionnement sur les rapports pas toujours simples et néanmoins inéluctables entre les pôles positifs et négatifs d’un aimant que sont les femmes et les hommes depuis la nuit des temps.
L’amour est notre seule et grande affaire, tel pourrait être le sous-titre de ce récit ! »

Arrêt aux pages : Serge Marignan, « Ironie, la vie »

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