1870 : le jeune Rimbaud s’ennuie. A 15 ans, il fugue à Paris puis se réfugie à Douai où, en deux mois, il rédige une vingtaine de poèmes éblouissants. Son lyrisme à la fois sensuel, furieux et érudit saisit l’universelle révolte d’une jeunesse éprise d’idéal et le démarque déjà du romantisme comme du réalisme. Avec le Cahier de Douai, Rimbaud renouvelle la poésie moderne au-dessus de laquelle son ombre imposante et mythique continue de planer.

Traces de lumière : Arthur Rimbaud, Le cahier de Douai

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