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un commentaire sur “Traces de lumière : L’insurrection poétique

  1. Merci à Christian Malaplate et Viviane Nau pour ce flamboyant bouquet poétique. Remarquable idée de faire un panorama de toute la poésie, pour parler de Rimbaud. C’était rendre justice à l’auteur à quinze ans du si fameux « Je est un autre ». Je n’est qu’un autre. Cela permet d’ouvrir l’exposé sur l’homme aux semelles de vent par le «Elle est retrouvé … l’éternité ! »
    L’homme n’exist pas. Dans une nature luxuriante il existe, parmi d’autres, une espèce humaine. La mort n’existe pas. Tout est éternité. Plus qu’un éternel recommencement, c’est, comme la vague, une frissonnante continuité, la grande humanité de Nazim Hikmet évoquée dans la présentation. Le poème n’existe pas. Il n’existe qu’une toile aussi éternelle que la tapisserie de pénélope où s’écrit éternellement un seul et unique poème.

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